Bref, Archimède passe de longues heures à se faire l’idée la plus juste possible de l’état du monde moderne. D’un côté, les inventions les plus merveilleuses, les possibilités infinies qu’il possède, les réalisations artistiques sublimes, qui rendent la vie dans ce monde magnifique, et de l’autre côté, l’état de dégradation dans lequel il se trouve en grande partie. Il conclut sa longue réflexion en se disant qu’il est temps de se mettre au travail pour préparer l’avenir.